• Le 7 décembre dernier, Nicolas Sarkozy, commentant sur le journal de France 2 les intentions du PS de retirer ses listes dans certaines régions pour le second tour des élections régionales, a sorti tout à trac une formule inédite pour justifier son refus de retraits des listes de son parti dans d'autres régions en contrepartie  : "Ce n’est pas comme ça que ça se passe. Ce n’est pas : Passe-moi la salade, je t’envoie la rhubarbe."

    Cette sortie a fait le buzz. Toutes les chaînes, tous les journaux n'ont pas manqué de relever et de commenter cette expression insolite, qui a fait les choux gras des internautes persifleurs. Les commentaires divers, comportant des approximations, voire des erreurs, m'ont donné envie de creuser à mon tour la question et de faire une petite mise au point sur l'origine de l'expression.

     

     

     

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  • Les haricots ne valent pas grand chose. C'est du moins ce que nous suggèrent plusieurs expressions courantes, comme "faire quelque chose pour des haricots", ou "c'est la fin des haricots".

    Réhabilitons les haricots !

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  • C'est l'une des premières publicités télévisées dont je me souvienne : un petit poussin chantait les louanges des petits pois (en boîte) de sa voix flûtée, dans une série de courts films d'animation. C'était en noir et blanc.

     

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  • Quand j'étais petite, lors des vacances estivales en Périgord, nous, les enfants, nous donnions un coup de main à mon oncle dans le champ de tabac. Dans mon souvenir, nous étions chargées d'enlever des basses feuilles sur les plants : s'agissait-il de les éliminer ou au contraire de les récolter ? Je ne m'en souviens guère. Peut-être, tout compte fait, s'agissait-il plutôt d'enlever les bourgeons axillaires, opération qui semble déterminante pour obtenir des plants bien développés.

    Ce dont je me souviens bien, ce sont des plants de tabac plus grands que moi. C'était des tiges bien droites, aux larges feuilles régulières, fines, veloutées et légèrement poisseuses. Je pénétrais dans cette masse comme dans une forêt vierge et j'avançais entre les rangs dans une chaleur moite et étouffante, où les bruits étaient assourdis et où le soleil filtré par les feuillages jetait une lumière verdâtre.

    L'évocation de ce souvenir m'amène à aborder des aspects de l'histoire du tabac et à rappeler quelques anecdotes liées à ce fléau moderne. 

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