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    Comme un saligaud
    Mon copain le chêne
    Mon alter ego...

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  • Le ginkgo biloba est un arbre préhistorique extraordinaire et fascinant.

    Ses feuilles, un peu épaisses, ont une forme unique ("bilobée"), figurant une sorte d'éventail échancré. A l’automne, le feuillage, habituellement d’un vert clair, devient jaune clair, d’une couleur très lumineuse.

    L'arbre aux 40 écus

    Feuille de ginkgo

    La silhouette de cet arbre de taille moyenne est caractérisé par de longues branches très droites, presque verticales, qui lui donnent un aspect hérissé. 

    L'arbre aux 40 écus

     

    Un ginkgo lance ses flèches d'or sur un ciel d'azur...
    Val de Bièvre, automne 2015

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  • L'action du roman de Jean Giono, Un roi sans divertissement, se déroule dans la région du Trièves, dans les Alpes, entre les massifs du Vercors et du Dévoluy, à la limite des Hautes-Alpes, de l'Isère et de la Drôme.

    Giono y décrit la forêt magnifiée par un automne opulent, un souvenir de vacances qu'il glisse subrepticement dans son intrigue.

    L'automne dans le Trièves

    L'automne dans le Trièves

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  • Ruth est l'auteure et la narratrice de En même temps, toute la terre et tout le ciel (Belfond 2013). Elle vit avec son mari Oliver, écologiste, artiste paysagiste, botaniste expérimental..., sur l'île Cortes, dans la baie Désolation, en Colombie britannique.

    Elle évoque le paysage qui l'entoure, une forêt qui envahit l'espace et ferme l'horizon. 
    Elle décrit une forêt étouffante, qui avance inexorablement.

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  • Le roman de Jean Giono, Un roi sans divertissement, s'ouvre sur la description d'un arbre remarquable, un hêtre. 

    Est-ce là le héros de l'histoire ? On pourrait le penser. Cet arbre semble intemporel : il est là, imposant, aujourd'hui (le roman est écrit en 1946), occupant tout l'espace visuel.

    Pourtant, le focus se déplace brusquement sur le mystère de disparitions et de crimes dans le village un siècle plus tôt, en 1843. Le hêtre était déjà là, plus jeune, déjà important. Mais, passé au second plan, il n'est déjà plus qu'un personnage secondaire.

    Puis, au gré des narrateurs successifs, le focus se déplace définitivement sur un nouveau personnage, Langlois, que l'on ne quitte plus jusqu'à la fin du roman. 

    Le livre est parti parfaitement au hasard, sans aucun personnage. Le personnage était l'Arbre, le Hêtre. Le départ, brusquement, c'est la découverte d'un crime, d'un cadavre qui se trouva dans les branches de cet arbre. Il y a eu d'abord l'Arbre, puis la victime, nous avons commencé par un être inanimé, suivi d'un cadavre, le cadavre a suscité l'assassin tout simplement, et après, l'assassin a suscité le justicier. C'était le roman du justicier que j'ai écrit. C'était celui-là que je voulais écrire, mais en partant d'un arbre qui n'avait rien à faire dans l'histoire.

    Jean Giono

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